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A la fin de ce chapitre, vous devez être capable de déterminer l’expression littérale d’une application affine connaissant : les images de deux réels ; le coefficient de l’application affine et l’image d’un réel par cette application, de représenter graphiquement une application affine dans un repère orthonormal et d’utiliser la représentation graphique d’une application affine pour déterminer une image ou un antécédent.

Ce module se décline en plusieurs parties qui te permettront d’utiliser  les nombres réels dans divers calculs  impliquant l'addition, la soustraction, la multiplication et la division ainsi que les puissances. Un accent particuliers est mis sur les quotients et la valeur absolue.

L'étude des équations à une inconnue permet de développer des compétences essentielles en résolution de problèmes Ce module reprend les équations à une inconnue de types :

• \(ax+b=0\)

• \((ax+b)(cx+d)=0\)

• \(\left| ax+b\right| =c\) ;\(\left| ax+b\right| =\left| cx+d\right|\)

  • \(ax^2 +b =c\)

• \(\dfrac{a}{x}=\dfrac{b}{c}\)

Ce module te permettra de renforcer tes acquis dans l'étude des équations à deux inconnues ainsi que les systèmes d’équations à deux inconnues. Il aborde  différentes méthodes de résolution. Des cas de  traduction mathématique et de résolution de problèmes d’une situation de vie réelle  te sont aussi  proposés.

A la fin de ce chapitre, tu seras capable de :

• vérifier si un couple de réels est solution ou non d'une inéquation à deux inconnues du type : \(ax + by + c \leq0\).

• résoudre graphiquement une inéquation à deux inconnues du type : \(ax + by + c \leq0\).

• capable de vérifier si un couple de réels est solution ou non d'un système d'inéquations à deux inconnues.

• résoudre graphiquement un système d'inéquations à deux inconnues.

A la fin de ce chapitre, vous devez être capable de déterminer l’expression littérale d’une application affine connaissant : les images de deux réels ; le coefficient de l’application affine et l’image d’un réel par cette application, de représenter graphiquement une application affine dans un repère orthonormal et d’utiliser la représentation graphique d’une application affine pour déterminer une image ou un antécédent.

A la fin de ce chapitre, tu seras capable de :

• regrouper en classes une série ;

• déterminer les tableaux des effectifs cumulés croissants ou décroissants et des fréquences cumulées croissantes ou décroissantes ;

• construire un histogramme ;

• construire un diagramme cumulatif ;

• déterminer les paramètres de position.

Ce module te permettra de revoir des acquis importants sur les vecteurs. Il comprend plusieurs concepts tels que la somme vectorielle, la multiplication d'un vecteur par un nombre réel et la colinéarité de vecteurs.

A la fin de ce chapitre, vous devez être capables de reconnaître la transformation résultant de deux translations successives, de deux symétries centrales successives et de deux symétries orthogonales successives.

A la fin de ce chapitre, tu seras capable de :

• déterminer les positions relatives de droites ;

• déterminer les positions relatives de droites et de plans ;

• déterminer les positions relatives de plans .

Ce module résume les principaux groupes du monde animal ainsi que les critères permettant de les distinguer. Pour certains groupes comme celui des Mollusques, une courte vidéo t'a été proposée pour bien identifier les principaux sous groupes.

Tu pourras également tester les acquis avec les questions intégrées.

Dans l'environnement, on retrouve une multitude d'êtres vivants, qu'il convient de regrouper en des groupes grâce à des critères facilement observables ou clés de détermination. On fait alors de la classification des êtres vivants.

Les scientifiques aiment classer les êtres vivants afin de mieux les identifier et comprendre leurs liens. Une des façons de le faire est d'utiliser la taxonomie. La taxonomie est la science qui traite de la désignation, de la description et du classement des êtres vivants.

La taxonomie moderne a vu le jour au milieu des années 1700, quand Carl Linnæus (Carl Von Linné) a créé un système permettant de classer tous les êtres vivants. Il l’a fait en attribuant à chaque être vivant deux noms latins, celui du genre suivi de celui de l'espèce. Le nom du genre commence toujours par une lettre majuscule et celui de l'espèce par une lettre minuscule. Un tel nom est appelé nom scientifique.

Ce module te permet de classifier les végétaux en te basant sur un certains nombres de critères facilement observables.

Les végétaux supérieurs se divisent en plantes sans fleur et en plantes à fleur. Chez les plantes à fleur, la reproduction est sexuée. Elle fait intervenir un gamète mâle et un gamète femelle portés par la fleur qui est l'organe reproducteur de ces végétaux.

Ce module te permet de connaitre l'organisation de la fleur et les étapes de cette reproduction sexuée.

Ce module est un résumé du mécanisme de la reproduction des plantes sans fleur comme la fougère. Il comporte des schéma assez clairs des différents organes et cellules reproductrices impliquées dans ce phénomène.

Il est en outre accompagné d'une petite vidéo avec des séquences entrecoupée de questions sous forme d'un quiz qu'il faut traiter pour s'auto-évaluer avant de passer à la séquence suivante.

Les êtres vivants qui peuplent un même espace entretiennent des relations diverses. Ces relations jouent un rôle crucial dans le fonctionnement et l'équilibre des écosystèmes. L'environnement constitue donc un réseau complexe de relations entre les êtres vivants et les éléments non vivants qui les entourent.

Ces relations sont de nature différente, allant des interactions entre les espèces aux interactions entre les organismes et leur milieu de vie (milieu physique).

Ce module te permet de connaitre, de comprendre ces relations.

L’eau est incontestablement l'une des ressources naturelles la plus vitale de notre planète. Nous la retrouvons essentiellement dans les océans ( 96,5%), mais aussi dans les glaciers, dans l’atmosphère sous forme de vapeur d'eau, dans chaque être vivant, dans les nappes souterraines.

L’eau est l'élément essentiel et indispensable à la vie. Elle est quantitativement, le constituant le plus important de la matière vivante. L’homme et les animaux sont constitués d’environ 71% d’eau et les végétaux verts d'environ 85% d'eau.

L’eau se rencontre dans les trois grandes régions de la biosphère (atmosphère, hydrosphère et lithosphère) et sous ses trois états (liquide, solide et gazeux).

Ce module te permet de connaitre les états de l'eau, ses étapes de transformation dans l'environnement et son importance pour la survie des espèces.

Le sol est la partie la plus superficielle de l'écorce terrestre. Il provient de la dégradation d'une roche préexistante ou roche mère. La nature du sol dépend donc de celle de la roche mère.

Le sol est à la fois le support et le produit du vivant.

Ce module te permet de connaitre le processus de formation du sol, ses constituants ainsi que la disposition et la nature des éléments minéraux qui le constituent.

Cette fiche te propose quelques conseils méthodologiques pour t'aider à mieux réussir la réalisation d'un graphique ainsi que son exploitation. Elle a l'avantage de te proposer une démarche simple en un certain nombre d'étapes avec un exemple concret, des critères de réussite d'un telle activité ainsi que quelques exercices de vérification des acquis.

Cette fiche comporte également quelques conseils méthodologiques pouvant t'aider à exploiter (analyse et interprétation) les données consignées dans un graphique.

Elle est constituée d'un version texte et d'une version power point sous forme d'une vidéo.

La sortie pédagogique est une activité pédagogique fortement recommandée pour une exécution correcte du programme de SVT.

Ce module te propose quelques conseils pratiques pouvant t'aider à bien réussir la rédaction de ton compte rendu de la sortie pédagogique de SVT notamment en écologie. Il te propose un plan cohérent du compte rendu ainsi que les éléments de contenu attendus pour chaque partie.

Tu peux donc t'en inspirer pour bien réussir ton compte rendu étant entendu que les données recueillies lors de la sortie varient d'un site à un autre.

Les lentilles minces sont des dispositifs optiques couramment utilisés pour modifier la direction de la lumière. Voici un résumé des principaux concepts concernant les lentilles minces, généralement enseignés en classe de troisième. Il existe deux types de lentilles minces :

• lentilles convergentes : Les lentilles convergentes sont épaisses au centre et minces sur les bords. Elles ont la capacité de converger la lumière par réfraction et de former des images réelles ou virtuelles. Les lentilles convergentes ont une forme bombée et sont couramment utilisées dans les lunettes de vue, les loupes et les télescopes

• Lentilles divergentes : Les lentilles divergentes sont minces au centre et épaisses sur les bords. Elles dispersent la lumière par réfraction et forment toujours des images virtuelles plus petites que l'objet initial. Les lentilles divergentes ont une forme creuse et sont utilisées dans les lunettes de correction pour la myopie et dans certains types de projecteurs.

  Foyer et distance focale : Le foyer est le point où les rayons lumineux parallèles se rencontrent après avoir traversé une lentille convergente ou semblent provenir d'après avoir traversé une lentille divergente. La distance entre le centre optique de la lentille et le foyer est appelée distance focale (f). Pour les lentilles convergentes, la distance focale est positive, tandis que pour les lentilles divergentes, elle est négative.

Centre optique : Le centre optique d'une lentille mince est le point situé sur l'axe principal et qui ne dévie pas les rayons lumineux. Les rayons qui passent par le centre optique ne subissent aucun changement de direction.

Images formées par les lentilles : Les lentilles peuvent former des images réelles ou virtuelles. Une image réelle est formée lorsque les rayons lumineux se croisent réellement après avoir traversé la lentille. Une image virtuelle est formée lorsque les rayons lumineux semblent provenir d'un point, mais ne se rencontrent pas réellement. Les propriétés des images (droite ou inversée, agrandie ou réduite) dépendent de la position de l'objet par rapport à la lentille et du type de lentille utilisé.

Construction graphique d'images : Pour déterminer la position et la taille d'une image formée par une lentille mince, on utilise des constructions graphiques à l'aide de rayons lumineux parallèles et de rayons lumineux passant par le centre optique de la lentille.

La notion de force est primitivement associée à l'idée d'un effort physique (musculaire). Cet effort permet de déplacer, de déformer, de mettre au repos, de briser....

D'autres causes permettent d'obtenir les mêmes effets.

Bien des systèmes (objets), soumis à deux forces, qui nous entourent sont immobiles (en équilibre) dans le référentiel terrestre. Existe-t-il alors une relation simple entre ces deux forces ?

En 1799, Volta réalisa un empilement simple (une pile électrique) constitué de rondelles en argent et en zinc alternés et séparés par des rondelles de feutres imbibées d’eau acidulée. En reliant les deux extrémités de l'empilement par un fil métallique il observa le passage d’un courant électrique. Le passage du courant se manifeste par des effets au niveau des corps.

De nombreux phénomènes naturels (l'éclair, la foudre, l’influx nerveux, les battements du cœur, le fonctionnement des neurones …) s'expliquent avec le courant électrique. Le fonctionnement de nombreux dispositifs créés par l’Homme (pour faire démarrer une automobile, pour stimuler les battements du cœur, pour communiquer, pour éclairer, …) est assuré par les effets du courant électrique.

La plupart des appareils fonctionnent grâce à l’électricité fournie par les générateurs (centrales, accumulateurs, piles…). Certains générateurs et composants électriques portent des valeurs nominales qui évoquent des grandeurs électriques (intensité, tension, puissance,...) et qui permettent de prendre des précautions pour protéger les personnes et les appareils (application des consignes de sécurité liées au courant électrique).

Dans ces activités on va :

• d'abord étudier des circuits qui permettent de faire circuler du courant électrique et ensuite les schématiser (ou réaliser un circuit à partir de son schéma),

• voir aussi comment distinguer expérimentalement un conducteur d’un isolant et comment reconnaitre les effets et le sens du courant électrique (dans divers dipôles),

• apprendre et surtout utiliser les lois du courant continu,

• voir comment appliquer les consignes de sécurité liées au courant électrique pour terminer ce chapitre.

On sait depuis l’antiquité que certains corps frottés attiraient sur la partie frottée quelques objets légers tels-que des brindilles de pailles légères. Adhésion par frottement d’une feuille de papier sur un revêtement plastifié, légère décharge électrique ressentie en échangeant une poignée de mains par temps secs  sont de nos jours observables ou constatés.

Tous ces phénomènes cités sont interprétés par l’électrisation par frottement qui est un phénomène électrostatique qui se produit lorsqu’une substance acquiert ou perd des électrons quand elle est frottée.

Certains corps frottés acquièrent de l’électricité. On dit qu’ils sont électrisés ou chargés d'électricité. Un corps chargé négativement a un excès d’électrons tandis qu’un corps chargé positivement a un défaut d’électrons

Les charges produites restent localisées à la surface frottée des corps isolants tandis qu'elles se répartissent dans tout le volume des corps conducteurs.

Le mouvement d'ensemble de ces charges dans les conducteurs constitue la nature du courant électrique.

Le sens conventionnel du courant électrique est tel qu’il sort de la borne positive de la source de courant et qu’il rentre par sa borne négative (bien qu’on sache aujourd’hui que les électrons se déplacent dans le sens inverse).

L’intensité d’un courant électrique est la quantité d’électricité qui traverse une section droite d'un circuit pendant l’unité de temps.

Le courant électrique est un mouvement d’ensemble de porteurs de charge. Etant donné que les conducteurs ne sont pas tous identiques, les porteurs de charge ne s’y déplacent pas avec la même facilité. Le matériau conducteur s’oppose plus ou moins à leur mouvement. En physique, on caractérise cette opposition au déplacement des porteurs de charge mobiles par une grandeur appelée résistance électrique.

Certains matériaux conducteurs sont appelés résistors ou conducteurs ohmiques. Il existe différents types de résistors, par exemple :

• les résistors utilisés en électronique (radio, télévision, ordinateur, etc.) sont appelés simplement « résistances » ;

•  les résistors utilisés dans les dispositifs électroménagers de chauffage électrique (fer à repasser électrique, chauffe-eau électrique, etc.) sont appelés résistances chauffantes.

Dans cette activité tu vas étudier le rôle de ces résistors dans un circuit électrique et leur grandeur physique caractéristique (résistance). Tu vas voir aussi comment déterminer la valeur de la résistance d'un résistor ou d'une association de résistors. Pour terminer l'activité tu vas comprendre comment la résistance électrique d’un fil métallique homogène et cylindrique dépend-elle de sa nature et de ses caractéristiques géométriques (longueur et section).

Une réaction chimique est un processus dans lequel des substances chimiques, appelées réactifs, subissent une transformation pour former de nouvelles substances, appelées produits. Les réactions chimiques sont régies par les lois de conservation et sont représentées par des équations-bilan. Les coefficients stœchiométriques dans une équation chimique indiquent le rapport molaire des réactifs et des produits. Ils permettent d'équilibrer l'équation pour respecter la loi de conservation de la masse.

Il existe plusieurs types de réactions chimiques :  réactions exothermiques, endothermiques et athermique.